Hello les vers de terre ! On est de retour avec une connexion internet potable ! Hourra, hourra, hourra !
D’habitude, pour la nouvelle année, j’aime bien envoyer des cartes de voeux à la con, genre décorés de petits autocollants de Noël (eh oui…) & illustrées d’un récit écrit au stylo-paillettes façon enfant de CM1, mais là heuu… Comprenez que je suis trop loin hein… Ca prendra trop de temps pour recevoir ces petites cartes… Alors, heu… Ben je vais opter pour une annonce générale de ce que je vous souhaite à tous pour 2016 par le biais d’un haricot !
Je souhaite que votre année 2016 soit spéciale. Je souhaite que l’énergie du chiffre 9 (2016 = 2+0+1+6 = 9) vous fasse pousser les ailes. Je souhaite que vous accomplissiez toutes et tous vos projets les plus précieux. Je souhaite que vous réalisiez tous vos rêves les plus fous (et peut-être les plus inavouables… Mais évitez ce qui est pô légal…) Je souhaite que vous vous amélioriez toutes et tous dans un domaine qui vous tient à coeur depuis (trop) longtemps, mais que vous mettiez toujours de côté auparavant, car « pas le temps ». Je souhaite que cette année, vous preniez le temps.
« Rien ne fleuri toute l’année dans la nature. Soyez patient avec vous-même. »
Cette année, je veux que vous vous sentiez capables, forts, beaux, amusés, aimés, épanouis, créatifs, extravertis.
Cette année, je veux vous voir oser, parler, chanter, danser, démarrer, avancer, vous améliorer.
Cette année, je veux vous voir grandir après un échec, rire après une honte, vous épousseter après une chute et continuer de courir.
& je vous souhaite deux ou trois gains au loto, car bon, à ce qu’il paraît, 100% des gagnants du loto ont tenté leur chance… Niark niark niark.
Ps : rappelez-vous de ça, pis choisissez votre camp pour 2016 :
Bref !
Ces derniers jours ont été très forts en émotions pour tous les deux. Beaucoup de joie, beaucoup de surprises (négatives comme positives), beaucoup de leçons, beaucoup de vie.
Mais là je suis en train de manger des petits bâtonnets à tremper dans de la crème banane-choco, alors ça va. D’ailleurs à ce propos, c’est une des rares sucreries que j’aie mangé jusqu’ici. Je crois que je suis sevrée de mon addiction au sucre. Je me suis rendue compte que mon rapport au sucre n’était pas des plus sains (je croquais régulièrement des carrés de sucre dans la journée et dans la nuit et pour moi, un bon repas devait commencer par un dessert et finir par un dessert) quand un de mes amis (Rémi si tu me liiiiiiis ! C’est de toiiii que je parle ! D’ailleurs, mets donc un commentaire vieille tête !) m’a dit très calmement que j’allais sûrement mourir d’une attaque si je prolongeais mes habitudes douteuses avec le sucre. Ces mots sont sortis de sa bouche environ 30 secondes après qu’il m’ait vu mettre 5 morceaux de sucre dans une toute petite tasse remplie de café. Du coup j’avais arrêté le café. Mais finalement, trois mois plus tard… Je n’ai tout simplement plus envie de sucre. Pourtant je me force des fois. Mais rien n’y fait. Même le matin, je mange des oeufs. DES OEUFS. *je crie d’horreur et de stupéfaction* (par contre je continue à manger de gros carrés de beurre sur des minis bouts de pain, ce qui est rassurant). *j’essuie la goutte de sueur sur mon front*
Allé, rien que pour vous, j’active ma psychologie de comptoir : l’ambiance de la Thaïlande est-elle si douce que je n’ai plus besoin de ces petites douceurs ?
Ce qui est marrant c’est que les grains de sable remplacent les grains de sucre sur le sol de notre chez-nous et sous mes draps ! Je ne grignote plus avant de me coucher mais je n’aime pas enlever le sable de sous mes pieds quand je vais au lit, c’est chiant.
Bon bref voilà, en 2016, j’ai déjà de quoi être fière : je suis sevrée du sucre ! Hallelujah mes frères.
Allé après cette bonne et étrange nouvelle, voici le résumé de ces derniers jours. Avec une petite musique, ouais !
Le petit buddha.
27 décembre 2015
Donc, on vous a laissé le 27 décembre, en plein milieu d’un beau couché de soleil saupoudré de mango lassi. Mais je vous ai réservé le meilleur de cette fameuse journée hahahaha !
En fait, lors de notre session plongée, mon maladroit de chéri s’est entaillé le pied contre des rochers dans l’eau. Je pense qu’un de ces rochers s’est pris d’affection pour lui et lui a laissé des petits souvenirs sous la peau…
En désinfectant sa plaie, j’ai découvert des petits bouts de bord de rochers sous son épiderme !
Ahh quel bonheur, j’ai pu jouer à la chirurgienne ! Alors, famille Amélineau, vous voyez à quel point Sylvain est entre de bonnes mains ? Oh oh oh, quelle douce ironie !
La preuve :
Voilà, j’installe l’estropié, je me lave les mains, je stérilise mes outils, je dis des mots rassurants (OUAH CETTE PLAIE ! OUAH LE BOUT EST GRAVE ENFONCE DANS TA PEAU MAN ! C’EST CHAUD FAUT PAS TROP QUE JE REGARDE !) etc… Une vraie pro quoi… Je déloge le petit bout gris et j’en vois un autre resté bien profondément ! Je propose mon aide pour déloger le corps étranger (bah des fois j’aime bien charcuter) mais un débat s’est installé et c’est là que tout a dérapé. D’après Sylvain, le corps étranger allait être éjecté de sa peau un jour ou l’autre, d’après moi, il fallait l’enlever pour ne pas que la plaie se referme dessus et qu’il y ait risque d’infection.
Les conclusions sont les suivantes : le petit bout s’est bel et bien délogé lui-même au bout de quelques jours et je suis virée de mon poste de chirurgienne. Nooooooon !
28 décembre 2015
C’était une journée super cool !
09H00 : on reçoit un appel pour nous annoncer que nous pouvons garder les masques et tubas en location un jour de plus ! Du coup, direction plage pour jouer aux explorateurs. On met au point un code gestuel, on ramasse des butins chacun de notre côté puis on rassemble tout… De vrais gosses. Heu, que dis-je, de vrais explorateurs… Regardez nos trésors !
La palme du plus beau est attribuée à :
16h00 : surprise ! Qui voit-on arriver vers nous avec sa chemise de touriste et son rire de pirate ? Benji !
Benji est un charmant pirate français que nous avons rencontré cet été en festival. Il nous a sûrement retrouvé grâce à une boussole magique (référence pirates des caraïbes, merci) car c’était très très très surprenant qu’il croise notre chemin au moment où il a débarqué !
(La photo ne date pas du 28 décembre mais je veux vous montrer sa tête).
Pour fêter ces retrouvailles complètement inattendues, re-baignade et re-mango lassi devant le couché du soleil.
29 décembre 2015
On change de coin pour s’installer vers les copains. Benji a trouvé un bon plan : quelques bungalows au bord de la plage sont toujours libres pour nous accueillir avant, pendant et après le festival ! Bon, au début, on a pas compris l’utilité d’un bungalow alors qu’on avait une tente. Puis, on a vu le site du festival. En pente. Très en pente. Trèèès très en pente. Avec plein de gros rochers partout. Alors on a dit « ok pour le bungalow ! » Et on a eu le bungalow n°13, bien sûr ! (Notre numéro !)
30 décembre 2015
On passe notre journée en compagnie de Benji, Momoko (une japonaise que nous connaissons depuis deux ans) et Kota (un japonais que nous venons de rencontrer). Nous n’avons malheureusement pas pris de photo d’eux (trop absorbés par le moment présent, trop absorbés par la magie, trop absorbés par le Japon, trop absorbés par la vie). Mais je peux vous les décrire : magnifiques, magiques, adorables, japonais quoi.
On voit le dos de Kota sur la photo, au moment où on escaladait tous pour accéder à leur bungalow.
On a pris le temps de s’installer dans un resto (où l’on mange presque les fesses dans l’eau) tous les 5. On a bien mangé et bu de merveilleux smoothies. Miam miam !
Et comme je suis au top je vous partage la photo qui fait du bien :
♥ ♥ ♥
L’endroit où nous étions était formidable. Le jour, toute la plage était recouverte par l’eau salée et nous ne pouvions accéder aux différents shops que par des pontons tremblants. Génial ! La nuit, l’eau se retirait et dévoilait une plage de sable fin sur des mètres et des mètres. C’est à ce moment là que les bars ouvraient leurs portes : on traîne les chaises longues sur le sable gluant et on allume les bougies dans des bocaux en verre. Les humains se prélassent contre les dossiers en bambou pour profiter du couché de soleil.
Les habitants sont toujours aussi aimables, souriants, accueillants. On se promène partout et on croise des petites boules avachies l’une sur l’autre, genre « c’est trop dur la vie, je suis tout petit et trop mignon ! »
Il y a aussi des petits poulets qui courent partout, librement sur l’île.
Je me permets un petit aparté pour parler des poules et poulets, justement. Comme la plupart d’entre vous le savent déjà, la viande est un des rares mets auquel je ne voue pas tout mon amour. Je traîne cette aversion depuis 20 ans déjà, et j’ai été végétarienne pendant plusieurs années : enfant et ado (n’ayez crainte, je vous épargne gracieusement la partie psychanalytique de la chose).
Je n’ai pas mangé de viande depuis que je suis arrivée en Thaïlande. Cependant, un soir, Sylvain avait opté pour une brochette de poulet et le plaisir de manger se lisait sur son visage. C’en devenait presque insultant pour mon PadThai végétarien ! Alors, j’ai moi aussi croqué dans la viande de poulette. Et sincèrement, c’était de loin la meilleure viande que j’aie mangé de ma vie. Désolée maman, désolée mamie, cela n’a rien à voir avec votre cuisine délicieuse. Je pense que cela a un rapport direct avec la liberté des poulets sur l’île. Ils se baladent partout, ils ont le même espace que nous pour s’exprimer, ils grandissent avec leur famille et picorent des noix de coco. Voilà, je vais m’arrêter là sinon je vais encore ouvrir une bataille sans fin, mais vous l’avez compris, savoir les animaux libres et traités dignement est un des voeux que j’envoie tous les jours à l’univers.
On aurait pu facilement manger un crabe aussi mais c’était notre invité du soir-bonsoir. (Nous avons découvert ce monsieur crabe sur le mur de notre bungalow un soir en rentrant dormir). On ne voit pas bien sur la photo mais il était plus gros que ma main. Il était adorable mais très peureux !
Posé tranquillement dans le hamac à siestes, un autre crabe.
Voici un muret construit avec des matériaux recyclés. Je trouve ça magnifique (quand c’est mieux fait, je l’avoue). Il n’y a plus aucun doute : si je construis un jour une maison-cabane, je veux ça :
20h00 : on se ballade sur la plage et quelqu’un nous accoste. Comme je suis heureuse ! C’est Sama ! Nous avions rencontré ce monsieur anglais cet été. C’est la plus belle rencontre inattendue que j’ai faite en Thaïlande jusqu’ici.
Nous avions passé des heures cet été à parler tous les deux, à échanger nos points de vue et nos expériences. Sama partage le même état d’esprit que le mien, c’est lui aussi un profond mélancolique sur la voie de l’acceptation. Quel bonheur de partager encore un moment avec lui ! Il nous a présenté sa chérie et nous avons discuté des heures tous les 4.
Il s’est d’ailleurs passé quelque chose de très étrange, ce genre d’histoire que j’adore. Passionnée par les rêves, mordue d’expériences oniriques, j’écoute gloutonnement Sama raconter un de ses rêves marquants. Stupeur ! Nous avons fait le même rêve à quelques semaines d’intervalle !
Quelques jours avant de croiser Sama, j’avais raconté à Sylvain un de mes rêves, très marquant et très étrange. Quelques jours plus tard, Sama nous raconte son rêve avec détails, nous décrit les symboles et les couleurs, les émotions et les personnages, qui étaient exactement les mêmes que dans mon rêve !
Les pouvoirs de l’esprit humain sont insoupçonnés et insoupçonnables.
Voilà une photo de Sama, sa petite amie Angie, Sylvain et moi, malheureusement à contre-jour 🙁
Sylvain tranquille et mon jus de carotte.
31 décembre 2015
Il est temps d’explorer ce festival tant attendu, non ? « The experience« , nous voilà !
Au milieu de la forêt, installation des hamacs dans lesquels on va faire dodo. On est au top ! Finalement, deux heures plus tard, nos maisons ont migré pour s’installer devant la scène principale. Comme ça, pour s’endormir, on est bercés par la musique !
Adorable petit bout de chou sur la scène aux côtés des artistes ! Pendant 15 minutes, c’était lui la seule star ! Ici, je fonds 10 fois par jour devant des petits pimouss aux grosses joues. Ca renforce mon souhait d’adopter un bébé asiatique. (T’inquiètes, c’est pas pour maintenant ! Oui oui, je t’ai vu devenir tout(e) pâle !)
01 janvier 2016, fesses vissées dans le hamac et tête qui vole dans la nature.
2016 sera magique et colorée.
Et voici mon petit asticot emmitouflé dans son cocon ! Adorable.
On reste quelques jours dans le bungalow avec les copains, puis on part découvrir Koh Phangan, une île thaïlandaise à proximité.
05 janvier 2016
Arrivée à Koh Phangan ! Il y a des geckos partout dans notre chez-nous et on est bercés par leurs cris trop rigolos ! Je trouve que ça ressemble au bruit que fait un canard en plastique qui couine quand on marche dessus.
Aussi, voici notre plafond fait par le Michel Ange thaïlandais.
Couché de soleil à Koh Phangan.
Ps : Regardez le petit singe à gauche de la photo ! Vous avez vu comme on a géré pour le timing?
Non désolée… Je me dois d’être honnête. C’est pas un vrai singe, c’est une statue… Mais ça fait du bien de rêver non ?
Plage de sable blanc et eau salée turquoise, dans laquelle on a pieds pendant une dizaine de mètres 🙂
On se la coule douce avant d’aller à l’after-party de The Experience pour danser les pieds dans l’eau.
AFTER PARTY – THE EXPERIENCE FESTIVAL
La photographie la plus belle de la soirée. Vous voyez le beau mec au milieu de l’eau ? C’est mon Sylvain 🙂
♥ ♥ ♥
06 janvier 2016
On flâne tranquille.
J’ai trouvé ce panneau excellent. « Ne vous garez pas ici. Même pas 5 minutes, même pas 30 secondes : ne vous garez pas DU TOUT ! »
Parking du super marché où les places sont faîtes pour les bikes ! Génial. Les seules voitures que nous voyons sont des taxis ou des navettes, tout le monde se déplace en scooter…
… Même nous !
18h30 : j’ai eu le droit à une petite leçon de scooter par mon chéri. Génial !
20h00 : pause cocktail. Je l’ai bien mérité ! J’ai découvert que j’aimais un cocktail : le gin tonic. L’heure est donc aux milkshakes banane et mango, et au gin tonic !
Maintenant je suis bourrée donc je ne peux plus écrire. Je vous laisse là, salut !
♥
Bonne année à vous aussi ! ♥
Trop bien de lire vos aventures au réveil.
Bisous depuis le bureau !
Chloé.
PS : Minou, Le Gin Tonic est mon cocktail préféré hiiiii !
7 janvier 2016 à 10 h 40 min(tu devrais tenter le Gin Fizz, sauf si tu n’aime définitivement plus le sucre)
Adorable Pocahontas !
7 janvier 2016 à 10 h 44 minLe Gin Tonic est devenu mon cocktail préféré aussi, la Pina Colada a cédé sa place.
Et sur la photo, ce n’est pas un Gin Tonic mais un Gin Fizz, je ne me souvenais juste plus du nom ! Ha ha ha trop bien 🙂
Bisous de chat 🙂
Wouaw, comme ça valait le coup d’attendre de vos nouvelles… Sylvain, j’espère que ton talon va mieux, car c’est bien GOOOOR sur la photo !!!! Dr DEHLINSTEIN félicitation pour ton intervention 😉 Vous êtes si beaux tous les deux ! Je vais relire et reregarder les photos qui sont magnifiques. Les coquillages…. pffff, époustouflants ! JE VOUS AIME ! Merci de me faire rêver et me donner de si belles nouvelles de vous ( à part ton talon Sylvain ).
7 janvier 2016 à 10 h 52 minOui mon talon va mieux merci ! Avec une chirurgienne comme Dr Dehlinstein c’est vrai qu’il y avait de quoi s’inquiéter sur le moment, j’avais l’impression d’être le cobaye de son envie de charcuter de la viande (peut être un effet secondaire de son côté végétarien qui ressort :p) Mais tout s’est bien passé, et le meilleur des remèdes reste beaucoup d’amour et de tendresse 🙂 On t’aime aussi Gladys, on pense fort à toi gros bisous ♥ ♥
8 janvier 2016 à 5 h 37 minMerci merci, j’ai eu, il y a une vingtaine d’années, une très bonne professeur qui a fait de nombreuses interventions sur ma personne. Elle m’a recollé à mains nues les dents dans ma gencive plusieurs fois après des chutes trop brutales et m’a même retiré un par un des dizaines de petits graviers à l’intérieur de mon genou à l’aide d’une pince à épiler, encore une fois après une chute. J’avais visiblement du mal à comprendre comment mon corps fonctionnait quand j’étais enfant & maladroite mais heureusement, cela m’a permis de trouver ma voie : sauver les autres à mon tour !
10 janvier 2016 à 14 h 50 min♥
Bonjour à tous les deux,
Tout est superbe, vous, les lieux, les paysages et même les panneaux d’interdiction.
Je suis rassuré d’avoir eu, à nouveau, de vos nouvelles, ET je constate que vous profitez toujours autant!!!
7 janvier 2016 à 16 h 21 min-:)
Merciii 😀
10 janvier 2016 à 14 h 51 minOui on profite, on profite !!
Gros gros bisous ensoleillé :*
MERCI Chloé,
Notre gratitude éternelle vous est acquise depuis que vous avez sauvé notre garçon adoré, la prunelle de nos yeux, du tétanos et de la gangrène réunies qui le menaçaient, et cela en dépit des nombreux vaccins qu’il s’est imposé.
Cela nous a permis de découvrir un autre de vos nombreux talents!
MERCI. GROS bisous.
10 janvier 2016 à 14 h 35 minMERCI FRANCOIS !
10 janvier 2016 à 14 h 53 minEnfin un peu de gratitude ! Je commençais à désespérer. Je compte faire une pétition pour reprendre mon poste de chirurgienne attitrée, je vais vous l’envoyer à Chalons, car si votre commentaire est sincère, je devrais avoir 5 signatures…
Bonjour mes chéris,
merci pour ces bons vœux, merci pour ce magnifique récit plein d’amour et d’humour…
Un grand merci au docteur Queen…grâce toi pas de jambe de bois…ouf ! la pied de notre Sylvain est sauvé et comme le disait mon chéri un peu plus, une corde de plus à ton arc ma belle Chloé…nous attendons ta pétition avec impatience, tu peux compter sur nous 🙂
Mes vœux pour vous et toute la tribu des Haricots magiques ont été prononcés en 1968 par Jacques BREL….je vous laisse les découvrir ou les redécouvrir.
Je vous aime…on se retrouve sur l’article suivant<3
10 janvier 2016 à 17 h 35 minJ’ai découvert les magnifiques voeux de Jacques Brel grâce à toi et je dois dire que les bonnes choses et les grandes idées ne vieillissent jamais ! Je te souhaite tout comme lui Christelle ! Avec 2016 bisous tout doux en prime de bonne conduite pour cette année 2016 ♥♥
14 janvier 2016 à 8 h 16 minComments are closed.